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Stencil en passant…

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Stencil en passant…

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Une planche plus vieille que moi, un stencil, et hop, un coup de bombe !

Coup de speed bombesque : King. Elvis.

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Les pionniers du Stencil Graffiti – Blek Le Rat

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Les pionniers du Stencil Graffiti – Blek Le Rat

Deuxième article de la série que je consacre aux artistes que je trouve les plus marquants en matière de Stencils Graffiti ! Aujourd’hui j’ai eu envie de parler de Blek Le Rat, un artiste français né au début des années 50.

Connu internationalement, il fait lui aussi partie des pionniers du mouvement, notamment en France. C’est en 1971 qu’il découvre, lors d’un voyage à New York, des « graffitis artistiques sauvages ». C’est une dizaine d’années plus tard qu’il commence à fabriquer des pochoirs, et prend le pseudo de BLEK avec un ami à lui. Plus tard, le duo se sépare et Xavier Prou décide de se renommer « Blek Le Rat ».

Il bombe à l’époque principalement dans les rues du XIV ème et du XVIII ème arrondissement de Paris. La technique et les idées faisant leur bout de chemin, il décide de bomber des pochoirs de personnes grandeur nature. On peut lire sur son site à propos de cette période (1983) : « Il y eu Tom Waits, un petit garçon en culotte courte, Andy Warhol, Marcel Dassault, la femme et l’enfant, un militaire russe que j’avais bombé aux entrées du périphérique, Mitterand, un faune, Joseph Beuys, un homme courant et hurlant, deux chiens en plein coït, une femme en porte-jarretelles bombée à l’entrée de la maison de Serge Gainsbourg et dans d’autres lieux appropriés. Ils étaient mes personnages, et je trouve qu’ils me ressemblaient tous quelque part, ils me présentaient au monde comme une personne se présente à une autre et quand je les peignais j’avais toujours l’impression que je laissais une partie de moi-même sur les murs 
de toutes les villes du monde dans lesquelles j’ai pu aller. »

Durant l’été 84, il subit sa première arrestation, mais par chance, l’inspecteur de police qui s’occupe de lui est un grand amateur de bandes dessinées, il ne transmet pas le dossier au parquet. Il eu moins de chance en 1991 et passa devant le tribunal pour « dégradation de bien ».

Mais durant tout ce temps, il n’a pas cessé de peindre, et de donner un peu de poésie à la capitale, et ailleurs, trimbalant ses pochoirs autour du monde. On attribue une phrase le concernant à Banksy : « À chaque fois que je peins quelque chose je découvre que Blek le rat l’a déjà fait simplement 20 ans avant !« , preuve qu’il a inspiré de nombreux artistes, et pas des moindres.

Encore une fois, quelques morceaux choisis de ses oeuvres :

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Une basse Jäger et quelques giclées de sang

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Une basse Jäger et quelques giclées de sang

Voilà donc la basse terminée à l’aide de mon pochoir que je vous présentait dans cet article. Contente du résultat, même si je n’étais pas là pour bomber le pochoir, je trouve très classe, même s’il faut que je vous avoue que j’ai galéré à cause de la taille de ce stencil Jäger… C’était le plus  petit que j’ai pu faire… Voilà les photos, et bravo à mon Yoshi pour son super taf de déco sur sa basse qui dépote !

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Stencil Jägermeister

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Stencil Jägermeister

Une nouveauté pour moi : faire un Stencil sur commande ! Objectif final : appliquer le pochoir que je vais faire sur une basse (oui oui, l’instrument de musique).

Pour ce qui est du cahier des charges, rien de plus simple, c’était de faire le logo Jägermeister, sans le lettrage. La principale difficulté étant que le diamètre du logo devait être de 7 cm, donc très petit. Voici le premier test du pochoir, bientôt la photo du travail terminé.

Le logo à partir duquel j'ai du travailler.

Le logo à partir duquel j’ai du travailler.

Premier test de mon pochoir;

Premier test de mon pochoir.

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Premier test pour un pochoir d’Iron Man, seulement le casque, et sans les couleurs… Work In Progress.

Tutoriel Stencil Anonymous

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Tutoriel Stencil Anonymous

Si vous voulez commencer à faire des pochoirs, faites vous la main sur des formes simples ! Le masque du film « V for Vendetta« , repris par les Anonymous est parfait pour cela. La réalisation de ce stencil m’as pris environ un quart d’heure, c’est dire s’il est simple à faire. Voici la vidéo 🙂

Et si vous avez la flemme de dessiner, voici une image que vous pouvez imprimer :

En balade à Metz, quelques photos…

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Par ce beau dimanche ensoleillé (ou presque), j’ai eu la bonne idée d’aller me promener, et pas n’importe où. À deux pas de chez moi, se trouve un Skatepark, planté à côté d’un complexe sportif. Et sur les murs de ce bâtiment déjà imposant, quelques artistes « exposent » leurs oeuvres régulièrement. Voici quelques photos de ce […]

Les pionniers du Stencil Graffiti – John Fekner

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Il y a beaucoup d’artistes méconnus qui travaillent depuis très longtemps à coups de Stencils dans la rue. Qu’ils soient Américains, Français, Hollandais, ils ont tous contribué à leur manière à l’expansion de cette technique, et ce depuis des dizaines d’années. J’ai voulu faire un petit retour en arrière pour vous faire partager quelques oeuvres de ces personnes, que vous ne connaissez peut-être (surement ?) pas ou peu. Une série d’articles intitulés « les pionniers du Stencil Graffiti » leur sera consacré.

Le premier est américain, et a commencé ses travaux dans les années 70. Toujours en activité, vous pouvez visiter son site officiel ici : johnfekner.com

Il s’agit donc de John Fekner, qui a commencé à se faire connaitre de manière « anonyme » dans les 70’s en bombant ses messages plus ou moins revendicatifs dans New York et ses alentours. L’objectif avoué était de montrer la misère de zones urbaines définies pour sensibiliser les élus, les communautés locales, etc… à être plus responsables dans leurs actions.

Il lie le présent et le passé (‘Wheels Over Indian Trails« ) et exprime souvent avec un mot ou deux le sentiment de toute une partie de la population qui se sent mise à l’écart (« Decay » -> décrépitude en français). Dans le New York Times Josh Russel a écrit de lui qu’il ne travaillait pas seulement à New York mais avec New York. Et c’est certainement ce que l’on ressent en regardant ses oeuvres.

Cet artiste né en 1940 n’a toujours pas décroché, et vous reconnaitrez surement quelques uns de ses travaux sur son site officiel. J’en ai choisis quelques un de manière purement subjective, rien ne vous empêche de faire vos propres recherches ensuite 😉

I Still Have A Dream New York - 1979 New York - 1978     

P 183

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Un nouvel article pour une nouvelle catégorie. Histoire de ne pas parler que de moi, j’aimerai vous faire découvrir de temps en temps des artistes qui ont tout (ou rien) à voir avec les Stencils. Aujourd’hui ce sera P 183.

On le compare à Banksy sur la toile, personnellement, je trouve le style bien différent, même si on peut y retrouver quelques similitudes. Cet artiste Moscovite de 28 ans s’appelle Pavel, n’aime pas Poutine, et se joue des perspectives, utilisant l’environnement avec une imagination qui parait sans limites. Il mérite plus qu’amplement sa place dans mes coups de coeur.

Morceaux choisis, enjoy 😉

    

(cliquez sur les images pour les agrandir)